De ce tardif avril, rameaux, verte lumière,
Lorsque vous frissonnez,
Je songe aux amoureux, je songe à la poussière Des morts abandonnés.
Je songe aux amoureux, je songe à la poussière Des morts abandonnés.
Arbres de la cité, depuis combien d’années Nous nous parlons tout bas !
Depuis combien d’hivers vos dépouilles fanées Se plaignent sous mes pas !
Oi myöhä huhtikuu, puut, viheriä valo
kun väreilette näin,
ma muistan kuolleita, on mielessäni palo
sydänten lempiväin.
Puut vanhat kaupungin, mitenkä monta vuotta
oon teille haastellut!
Kuin monin talvin jo oon lehtiänne suotta
näin katuun tallannut!